Dans un dispositif de blended learning, vous pouvez être amené à former vos apprenants à 3 types de savoir : le savoir, le savoir-faire, le savoir-être.

Certains vous diront qu’il est difficile, en digital learning, de former efficacement au savoir-faire, et que c’est quasiment mission impossible pour une formation au savoir-être. Mais en êtes-vous sûr ?

Comment former efficacement votre public ? Nous faisons le point.

Retour sur les 3 dimensions de la compétence

On distingue la connaissance (le savoir), la pratique (le savoir-faire) et les attitudes (le savoir-être)(1).

  • Le savoir

Le savoir correspond aux connaissances acquises par l’apprentissage ou l’expérience.

On peut l’identifier à travers des verbes tels que « connaître », « définir », « décrire », « énoncer », « identifier », etc.

  • Le savoir-faire

Le savoir-faire est la maîtrise d’une pratique correspondant à une compétence acquise.

Il peut se formuler à l’aide de verbes d’action tels que « savoir accomplir », « savoir appliquer », « savoir manipuler », etc.

  •  Le savoir-être

Le savoir-être est lié à une attitude, à des valeurs. Il s’agit de qualités personnelles et comportementales (respect, ouverture d’esprit, maîtrise des émotions, bon relationnel, capacité à travailler en équipe…) qui sont le reflet de notre personnalité, de notre éducation et de notre adaptation au monde qui nous entoure. Elles sont généralement acquises par l’éducation, la socialisation et l’expérience.

Le savoir-être sera généralement identifié par le verbe « être » associé à un adjectif : par exemple « être sociable », « être empathique », « être curieux », etc. On pourra aussi utiliser des verbes de type « comportementaux » comme « se rendre compte », « prendre conscience », « se comporter ».

Quelles activités proposer ?

C’est tout l’enjeu d’une formation efficace. Les activités pédagogiques proposées doivent être adaptées à chaque type de savoir.

  • Pour développer des compétences de type SAVOIR, on aura recours à des activités heuristiques* ou de découverte.
  • Pour développer des compétences de type SAVOIR-FAIRE, on aura recours à des activités pratiques favorisant le transfert, l’expérimentation, les activités applicatives.
  • Pour développer des compétences de type SAVOIR-ÊTRE, on aura recours à des activités « comportementales » favorisant la prise de conscience, l’auto-critique, mettant en exergue des comportements, des émotions.

* qui aide à la recherche, à la découverte des faits ou des théories, ainsi que ce qui tend à trouver.

Nous vous proposons ce tableau récapitulatif qui recense un certain nombre d’activités possibles (non exhaustives)(2). Si vous voulez en savoir plus sur ces différentes activités pédagogiques, contactez-nous !

Modalités :

S’il est assez aisé de  former les apprenants à des contenus de type « Savoir » au travers d’un module e-learning, il est un peu plus délicat de traiter les contenus de type savoir-faire et savoir-être avec cette simple modalité. En effet, ces contenus nécessitent qu’on puisse agir sur une pratique métier ou une attitude, en vue de l’améliorer, avec une vérification/validation de leur maîtrise pour que la formation soit efficace.

C’est pour cette raison que votre dispositif de formation doit être envisagé à 360°, en identifiant les modalités pédagogiques les plus efficientes en fonction de l’objectif visé, de sorte à optimiser l’efficacité de la formation. Les consultants de KSIRI learning peuvent vous accompagner à construire l’ingénierie pédagogique de votre parcours.

N’hésitez pas à nous contacter !

Sources :

(1) https://www.welcometothejungle.com/fr/articles/savoir-savoir-etre-savoir-faire-le-trio-gagnant-en-entreprise

(2) http://formateur.eklablog.com/typologies-d-activites-en-animation-pedagogique-a128200062

https://5aconseil.com/savoir-etre-comment-developper/

https://www.innovation-pedagogique.fr/article6516.html

Dans ce contexte particulier, vos apprenants se sont sans doute davantage familiarisés avec les formations en ligne. Mais sont-ils pour autant motivés à les suivre ?

Comment garantir le succès d’une formation e-learning et susciter l’intérêt de vos apprenants ?

Nous vous donnons quelques astuces !

Donnez du sens à votre formation

La formation doit être pensée en fonction de l’apprenant en lui permettant d’être acteur de son apprentissage. Gardez bien cela en tête pour construire le meilleur dispositif de formation. Cherchez à susciter l’attention et l’intérêt de votre public-cible, adressez-vous directement à lui et montrez-lui en quoi cette formation est pertinente. Elle peut par exemple être délivrée parce qu’elle répond à une problématique métier fréquemment rencontrée, parce qu’elle permet à l’apprenant de tester ses connaissances sur le sujet ou encore parce qu’elle traite d’un sujet important (gestes barrières, gestion d’une situation difficile, sujet réglementaire, etc.).

Déterminez un fil conducteur

Cette astuce vous permettra de donner du sens à votre module. Avoir un fil conducteur facilite l’apprentissage car l’apprenant s’impliquera mieux dans l’histoire que vous lui raconterez. Le storytelling est un excellent moyen de développer son fil conducteur. Pour cela, utilisez un ou plusieurs personnages, ou encore un narrateur qui accompagnera l’apprenant tout au long de la formation en lui racontant une histoire. Le thème doit être suffisamment fort et évocateur pour susciter l’intérêt de l’apprenant. Cette représentation lui permettra de s’identifier plus facilement aux différents cas que vous aborderez. Elle peut être en lien direct avec son environnement professionnel afin de faciliter le transfert des connaissances en situation de travail, ou au contraire emmener l’apprenant loin de son quotidien : un voyage dans l’espace, une aventure à vivre, etc.

Choisissez les bons médias

  • Le visuel : les illustrations que vous proposerez dans votre module auront leur importance : des visuels modernes et en relation avec le fil conducteur (décors, personnages, objets, etc.) rendront votre formation plus attractive et agréable à réaliser pour vos apprenants. Vous pouvez par exemple utiliser les talents d’un graphiste pour construire un environnement graphique sur-mesure ! Et pour les budgets plus limités, vous trouverez des images sur le web qui apporteront modernité et appui visuel à votre formation (cf. banques d’images gratuites comme Pixabay, Pexels, Flaticon).
  • La sonorisation : pour nous, la voix-off est essentielle car elle optimise l’apprentissage et la mémorisation en sollicitant le canal auditif des apprenants. Mais attention, choisissez-là bien ! Nous préconisons de faire appel à un comédien professionnel qui saura donner le ton à vos modules, et d’éviter la voix de synthèse, trop monocorde et déshumanisée. Pensez à préciser au speaker tout souhait particulier d’intonation (emphase, etc.) ainsi que la prononciation souhaitée pour les acronymes, termes étrangers, etc.

Personnalisez vos formations

Aujourd’hui, les apprenants veulent des formations personnalisées et se sentir concernés par les formations qu’ils suivent, tout en progressant à leur rythme.

Un premier niveau de personnalisation est de proposer un parcours de formation très granularisé en petites capsules de formation très courtes, équivalent à une notion-clé. Cela permet de cibler précisément la formation en fonction des besoins des apprenants et des connaissances/compétences qu’ils maîtrisent déjà.

Pour une personnalisation maximale, l’idéal est l’adaptative learning qui permet d’adapter à la fois le parcours de formation de l’apprenant mais aussi les modalités pédagogiques qu’il préfère.

Il est également possible de recourir à l’intelligence artificielle (IA). Si elle n’est pas encore à son apogée, elle permet, grâce à la collecte et l’analyse de données des utilisateurs, de personnaliser les formations et rendre le parcours de formation plus adapté à chaque profil. Par exemple, il est possible de personnaliser les contenus de formation de vos apprenants : en fonction de leurs recherches, l’outil d’IA va sélectionner les éléments les plus pertinents et construire la formation adaptée. De-même, certaines plateformes utilisent des chatbots pour apporter un premier niveau de réponse aux apprenants.

Diversifiez les modalités pédagogiques

Engager l’apprenant dans la formation, c’est évidemment lui proposer des contenus de formation variés et adaptés aux thématiques abordées afin d’éviter l’ennui et la lassitude. Variez vos contenus avec 2 ou 3 modalités pédagogiques (vidéos, exercices interactifs, quiz, question ouverte, documents PDF, images, etc.) et choisissez-les en fonction des informations importantes à retenir. Mais restez prudents ! Ne tombez pas dans la multiplicité de modalités pédagogiques : l’apprenant pourrait s’y perdre.

Gamifiez vos formations

N’oubliez pas cet élément incontournable : valoriser les progrès de vos apprenants ! Cela peut être sous la forme d’un gain, d’un badge, de points, ou d’un certificat par exemple.

En cas d’échec, il ne s’agit pas de blâmer votre apprenant mais au contraire de l’encourager ! Il doit rester motivé et donner son maximum à la prochaine tentative !

Retenez que le challenge entre pairs peut être une bonne façon d’encourager et de récompenser l’apprenant.

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Problématique incontournable lorsque l’on conçoit des ressources e-learning, êtes-vous bien au fait ? Une petite révision vous serait utile ? Nous vous donnons quelques conseils !

1/ Connaître votre cible

Même si cela peut vous paraître évident, il est important d’avoir bien en tête quelques « détails » incontournables, comme :

  • La fonction dans l’entreprise
  • Le niveau de connaissances du sujet traité
  • Le niveau d’adhésion au sujet traité
  • Etc.

En pratique :

Eh oui, on ne formera pas de la même manière un responsable commercial, un technicien, ou un comptable. Si le niveau de connaissances du sujet est hétérogène, il sera intéressant de proposer un test de positionnement en amont de la formation, puis des parcours-types selon le profil de l’apprenant. Si la formation est prescrite et non choisie par l’apprenant, il sera d’autant plus important de proposer une scénarisation engageante pour susciter son intérêt.

2/ Définir les objectifs pédagogiques

La première chose est d’identifier le niveau de connaissances (savoir, savoir-faire, savoir-être) que l’apprenant devra maîtriser à l’issue de sa formation.

En pratique :

Les objectifs pédagogiques doivent être formulés précisément, à l’aide de verbes d’action. Par exemple :

A l’issue de la formation, l’apprenant sera capable de :

  • Lister les grandes dates du développement durable
  • Expliquer dans les grandes lignes ce qu’est le développement durable
  • Décrire les engagements et les actions concrète du Groupe en faveur du développement durable
  • Appliquer les écogestes au quotidien pour contribuer personnellement au développement durable

Ce premier niveau d’information permettra de cerner le périmètre du contenu à traiter, et donc de faciliter le travail de tri entre contenus incontournables et contenus intéressants mais non pertinents.

3/ Découper et structurer le contenu à traiter

Un principe fondamental pour une digitalisation efficace est le séquençage en plusieurs grains courts, facilement mémorisables. Regrouper les informations similaires, les séparer en thèmes principaux : c’est ainsi que vous arriverez à identifier les étapes du ou des scénarios pédagogique(s), et à imaginer un fil conducteur.

En pratique :
Remettre les pièces du puzzle dans l’ordre ne suffit pas : vient ensuite la nécessité de réfléchir à la meilleure scénarisation possible… en gardant toujours en tête la population-cible et les objectifs ! Progression libre ou guidée, approche expositive ou inductive, storytelling, personnage récurrent… toutes les solutions sont bonnes tant qu’elles servent l’apprentissage.

4/ Varier les approches pédagogiques

Quelle que soit l’orientation pédagogique générale choisie, proposer un large éventail d’activités est important. Voici quelques exemples basés sur des approches pédagogiques courantes :

Approche expositive :
Donner des informations ou des ressources ne suffit pas pour ancrer les connaissances. Si le contenu le permet, utilisez le fil rouge comme prétexte : observation/restitution, mise en pratique, cas concret, … c’est grâce à des exercices que l’exposé théorique s’imprégnera efficacement.

Approche inductive :
Interpeller l’apprenant, via une question de réflexion ou une situation à évaluer, est l’une des techniques les plus efficaces en matière d’apprentissage : l’apprenant est acteur de sa progression. Recourir à un personnage auquel il peut s’identifier, observer de vraies mises en situation et découvrir des solutions réalistes et parlantes, sont alors des vecteurs supplémentaires dans son adhésion à la formation !

Storytelling :
Quoi de mieux que d’immerger l’apprenant dans une situation concrète par le biais d’une histoire qui rythme tout le déroulé pédagogique ? Là encore, la variété des activités est essentielle : un storytelling permet par exemple de faire des « arrêts sur image » et d’évaluer des situations en utilisant exemples et contre-exemples.

D’autres approches sont possibles, mais gardez en tête que celles qui rendent l’apprenant acteur de sa formation seront les plus efficaces.

5/ Évaluation / validation des acquis

Prévoyez de faire un retour direct à l’apprenant sur ses apprentissages (feed-back, validation suite à la réussite au quiz, certification…). L’évaluation doit être positive : si elle porte sur le contenu vu et/ou sur des mises en pratique, elle a pour objectif de permettre à l’apprenant de se positionner sur ses acquis… mais en aucun cas de le démotiver !

En pratique :
Quelle que soit la configuration de l’évaluation, valorisez l’apprenant :

  • En cas de réussite : délivrance d’une attestation ou d’un certificat imprimable.
  • En cas de non-réussite : invitation à revoir l’ensemble du dispositif de formation… avant de repasser le test, et le réussir.

L’évaluation concrétise donc le temps pris par l’apprenant à acquérir de nouvelles connaissances, et le confirme dans ses propres capacités.

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Je suis une digital native et je consulte très souvent mon smartphone, notamment pour me former ! J’attends ainsi que les capsules de mobile learning répondent à 5 critères qui sont essentiels pour moi.

Sujets simples et précis

Le mobile learning c’est la mobilité d’apprentissage de la formation. Dans ce contexte, je veux pouvoir consulter mes formations sur n’importe quel terminal. Cette modalité est particulièrement adaptée aux sujets simples, clairs et précis. Mon temps de concentration étant limité sur mobile, je préfère qu’on me propose des notions faciles à comprendre et à retenir. Un contenu trop complexe n’est pour moi pas adapté au mobile learning car je n’aurai pas la capacité de concentration nécessaire pour le mémoriser facilement.

Formats courts et impactants

Pour qu’une capsule mobile learning attire mon attention, j’attends qu’elle ne dure pas plus de quelques minutes (au maximum 5 minutes). Et dans ce court laps de temps, j’ai tout de même envie de stimuler mon cerveau et d’apprendre de nouvelles choses ! C’est pour cela que la capsule doit proposer des formats courts afin que je puisse la réaliser rapidement, en prenant en compte les contraintes de temps et d’espace, tout en ayant une réelle utilité. Même si le format est concis, je dois pouvoir comprendre l’intérêt de cette formation et ce qu’elle va m’apporter.

Modalités pédagogiques adaptées

Je ne souhaite pas lire des paragraphes de texte à n’en plus finir. Cela deviendrait vite lassant et fastidieux ! J’attends donc qu’on me propose des exercices pédagogiques qui me rendent actrice de ma formation : des glisser/déposer, des QCM, des questions vrai/faux, etc. L’interactivité est indispensable en mobile learning. Et quand il y a des challenges, c’est encore mieux parce que je peux me mesurer à mes collègues et tenter de m’améliorer !

J’apprécie aussi de pouvoir me former sur des médias que j’aime utiliser au quotidien : vidéos ou podcasts, très en vogue en ce moment !

Formation « just in time »

Selon moi, le mobile learning est particulièrement adapté dans les cas suivants :

  • Pour une formation auto-portante avec des notions simples de type SAVOIR.
  • Pour des ressource(s) complémentaire(s) à un dispositif de formation plus complet mêlant du blended learning.
  • En amont d’une formation, pour découvrir les notions clés et être sensibilisée sur un sujet en toute simplicité : je découvre la notion au travers d’exercices interactifs pour disposer des bases nécessaires lorsque j’aborderai le sujet plus en profondeur dans la suite de ma formation, e-learning ou présentielle.
  • En aval d’une formation, pour favoriser la consolidation de mes acquis avec la révision au travers d’exercices pédagogiques et quiz, ou favoriser mon ancrage mémoriel.

Résonance avec mes propres codes

Pour finir, une autre bonne pratique de mobile learning est d’utiliser les codes qui me sont familiers, que ce soit avec la dimension sociale ou la gamification. Il est beaucoup plus facile et naturel d’apprendre à travers des codes que j’ai l’habitude d’utiliser :

  • La dimension sociale : comme sur les réseaux sociaux, je veux pouvoir interagir et partager avec mes pairs en likant, en commentant ou en postant du contenu (posts, formations, etc.).
  • La gamification : pour moi, elle est un vrai levier de motivation, de récompense et de participation à la confiance en soi, car elle reprend les codes des jeux depuis lesquels j’aime me divertir sur mon smartphone. J’attends de la retrouver dans une formation de mobile learning où je peux apprendre en m’amusant et trouver du plaisir en me formant.

Et vous, quelles sont vos attentes concernant les capsules de mobile learning ?

*Par Ambre Décamps, chargée de formation digitale et marketing.

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Storyline, solution auteur d’e-learning de la suite Articulate, est l’un des outils phares du marché pour la création de modules e-learning. Mais est-il adapté à la création de capsules mobile learning ? La réponse dans cet article !

Articulate Storyline

Vous connaissez Articulate Storyline : c’est un outil puissant de création de modules e-learning sur-mesure. : Ses fonctionnalités avancées permettent de laisser libre cours à votre créativité pédagogique et graphique, et « Sky is the limit »

Mais est-il vraiment adapté à la réalisation de capsules mobile learning ?

Si le mobile learning est généralement développé à l’aide d’applications mobiles dédiées, Storyline peut être adapté à la réalisation de capsules mobile learning.

Oui mais comment faire ?

L’erreur classique à éviter est de concevoir sa capsule mobile learning comme un module e-learning standard, mais en plus court.

Voici donc nos conseils pour construire une capsule mobile learning dans Storyline :

Une ergonomie et une navigation adaptées

  • Choisissez la taille de l’écran adaptée à la consultation sur smartphone
  • Ne négligez pas la navigation : icône de fermeture, flèche de retour, barre de progression, boutons d’actions (« Commencer », « Continuer », « Terminer »)
  • En cas de gamification, faites apparaître le nombre de points acquis par l’apprenant

Un design sobre / priorité au contenu !

  • Veillez à ce que le design soit épuré, simple et intuitif.

Une scénarisation originale et ludique favorisant la mémorisation

  • Imaginez de nouvelles activités mobile friendly : vidéo, flip card, accordéon, carrousel, grille d’images avec pop-up textuelle, QCM, zones sensibles, glisser/déposer, etc.)

Mobile Thinking

  • Scénarisez votre capsule en pensant « mobile learning ». Ne transposez pas simplement votre module en capsule car vous n’optimiserez pas les particularités liées au support mobile.

Pour plus de détails sur la création d’une capsule mobile learning, rendez-vous sur notre article « Les bonnes pratiques de design en mobile learning ».

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Dans notre premier article sur les classes virtuelles, nous vous avons donné les clés pour réaliser une session efficace. Nous vous partageons à présent les bonnes pratiques de conception !

Avant la session

Établissez le périmètre de votre session de formation

  • Pensez à la place occupée par la classe virtuelle dans votre dispositif de formation.
    • Est-ce dans le cadre de l’introduction d’un parcours de formation ?
    • Est-ce pour la mise en situation d’une formation autour d’ateliers spécifiques ?
    • Est-ce dans le cadre de la clôture d’un dispositif de formation ?
  • Définissez précisément la durée de votre session en incluant une marge (5/10 minutes pour le retard des apprenants, les bugs informatiques, etc.) et entraînez-vous pour voir si vous respectez bien ce timing.

Préparez-vous et entraînez-vous

  • Élaborez votre scénario pédagogique (prise de notes, vue d’ensemble de la session), définissez les objectifs opérationnels de cette session pour les participants et identifiez précisément le contenu à traiter.
  • Préparez votre support, les contenus et activités associés (documents, vidéos, quiz, etc.) ainsi que les ressources pédagogiques qui seront mises à disposition des apprenants après la session.
  • Testez votre matériel informatique et l’outil de classe virtuelle pour vous familiariser et prendre connaissance des différentes activités proposées par l’outil.
  • Créez des groupes d’apprenants homogènes pour fluidifier les échanges et rendre la formation la plus adaptée possible à leurs besoins.

Impliquez les participants*

  • Informez et formez les participants à l’outil de classe virtuelle avec une session de prise en main de l’outil et/ou des documents à leur fournir (vidéos tutoriels ou fiche mémo par exemple).
  • Envoyez des mails de rappel réguliers avant la session de formation (J-7, J-1, jour J) et demandez aux apprenants de se connecter 5 à 10 minutes avant le début de la formation pour éviter les retards et anticiper les problèmes techniques éventuels (caméra, son, etc.).

*Pour rappel, un groupe de 5 personnes est recommandé (cf notre article « La classe virtuelle en digital learning : les clés de l’efficacité »)

Pendant la classe virtuelle

Le commencement :

  • Accueillez les participants individuellement afin que l’intégration soit faite dès le début de la session.
  • Présentez les objectifs de formation (les participants doivent savoir pourquoi ils suivent cette session de classe virtuelle) et faites un tour de table pour que chacun puisse se présenter.

Le déroulé :

  • Présentez un support clair à vos apprenants : hiérarchisez vos idées, allégez les écrans en termes de texte et utilisez des visuels (schéma, image, illustrations, pictogrammes, etc.) pour illustrer vos propos.
  • Variez les modalités pédagogiques (jeux de rôles, vidéos, réactions, tableau blanc, quiz, etc.) et faites interagir les participants : cela renforcera le taux d’engagement et les captivera d’autant plus.
  • Faites des courtes pauses (5 minutes environ) pour recharger les batteries de vos apprenants.

La clôture :

  • Évaluez l’acquisition des compétences des participants avec un quiz/QCM à la fin de la session : cela vous permettra de vérifier que les objectifs de la formation ont bien été atteints !
  • Concluez en vous assurant que les apprenants ont bien assimilé les éléments essentiels de la formation et remerciez-les pour leur écoute.

Après la classe virtuelle

  • Rendez disponible les ressources pédagogiques complémentaires à la session directement après la classe virtuelle (d’où l’importance de charger ces ressources en amont !) et rendez disponible la session (par exemple en vidéo ou sur le LMS) pour permettre aux apprenants de consulter à nouveau la formation si besoin.
  • Consultez et analysez les statistiques de vos apprenants grâce aux sondages/quiz réalisés lors de la session de classe virtuelle et réutilisez-les dans d’autres formations pour appuyer vos propos !
  • N’hésitez pas à proposer un résumé de la session.

Vous l’aurez compris, concevoir une classe virtuelle est bien plus complexe que de partager simplement des contenus théoriques avec les participants. La bonne préparation de la session vous en assure une réussite, ne négligez donc pas cette étape clé !

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Les webinaires et les classes virtuelles ont été les best sellers du confinement pour la formation des salariés… mais avec un résultat pas toujours à la hauteur. Pour faire une formation en ligne efficace, il ne suffit pas en effet de diffuser son support présentiel lors d’un webinaire ou d’une classe virtuelle. De nombreux articles sont parus sur ce sujet, on ne va pas faire de redites.

Nous vous proposons de nous focaliser sur l’essentiel : quelles sont les clés d’une classe virtuelle efficace ?

Classe virtuelle vs webinaire

Faisons rapidement le distinguo entre classe virtuelle et webinaire.

Un webinaire est destiné à un grand nombre de personnes, pour la transmission d’informations descendantes. Les interactions y sont limitées. Le webinaire est adapté pour une conférence ou un séminaire.

La classe virtuelle est utilisée pour des petits groupes à former (idéalement pas plus de 5 personnes), pour répondre à des objectifs d’apprentissage. La classe virtuelle favorise grandement les interactions grâce au travail en sous-groupes et à l’apprentissage entre pairs.

C’est pour cela que la classe virtuelle nous paraît une formidable modalité de formation… à condition de bien s’en servir dans un dispositif plus global de digital learning !

Déroulé-type

La durée-cible de la classe virtuelle ne doit pas excéder 60 minutes, 45 minutes étant l’idéal.

Voici comment nous vous proposons de répartir votre séance :

  • 2 minutes : accueil des participants (demander aux participants de se connecter 5 à 10 minutes avant l’horaire pour vérifier les aspects techniques)
  • 5 minutes : présentation des objectifs et tour de table
  • 3 minutes : brainstorming
  • 12 minutes : formation des apprenants (avec échanges) à utilisation de sondages, Q/R, quiz, etc.
  • 5 minutes : réponses aux questions + mini quiz (2/3 questions)
  • 15 minutes : mises en situation / travaux de groupes
  • 8 minutes : présentation des travaux de groupes + restitution/explications
  • 5 minutes : Q/R
  • 2 minutes : quiz de fin / sondage
  • 2 minutes : clôture de la session + remerciements

Vous constatez qu’en 1h on a peu de temps pour former. Il est donc indispensable de préparer sa séance en amont en privilégiant la qualité à la quantité.

1h de classe virtuelle n’est pas équivalente à 1h de e-learning. Elle ne sera donc pas adaptée à n’importe quel type de savoirs.

Quels types de savoirs en classe virtuelle ?

Le format étant court, il convient d’aller à l’essentiel et se focaliser sur un point précis de la formation.

La classe virtuelle est particulièrement adaptée à la transmission de savoir-faire et/ou savoir-être, ou à l’approfondissement d’une notion vue en e-learning. On peut montrer/corriger un geste, un comportement, le phrasé d’une personne, etc.

Les travaux de groupe spécifiques et ponctuels seront à privilégier :

  • approfondissement d’un point clé (un savoir-faire, une ou deux notions clés, etc.)
  • traitement des questions et réponses
  • cas pratiques, mises en situation
  • synthèse des notions vues dans les modules précédents

Conclusion

Si la classe virtuelle est une excellente modalité de formation, elle ne doit cependant pas être utilisée seule pour une formation digitale efficace. Elle doit faire partie d’un ensemble, être incluse dans le dispositif global de digital learning, à l’instar d’autres modalités comme le e-learning, le rapid learning, la vidéo pédagogique, le mobile learning, les quiz, etc.

Avant de transposer une formation présentielle en digital learning, posez-vous les bonnes questions et prenez le temps de bâtir l’ingénierie pédagogique de votre dispositif de digital learning. Nous pouvons vous aider à la réussite de votre projet !

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Scénariser un contenu en mobile learning, ce n’est pas simplement transposer les contenus e-learning déjà crées en mobile learning. Voici comment procéder.

S’adapter au terminal mobile

Pour bien scénariser votre contenu en mobile learning, pensez « mobile first » ! Adoptez une réflexion différente de celle d’un contenu conçu pour un affichage sur ordinateur, en prenant en compte les éléments suivants :

La finalité pédagogique : Identifiez la finalité pédagogique de votre formation (acquisition de nouvelles connaissances ou ancrage mémoriel) et déterminez l’approche pédagogique adéquate. Pour cela, posez-vous les bonnes questions :

  • La formation est-elle réalisée dans le but d’acquérir de nouveaux savoirs en stand-alone ?
  • Vient-elle en amont, pendant ou en aval d’une séquence de formation distancielle ou présentielle ?
  • Quelle approche pédagogique est la plus appropriée ? (Par exemple, un quiz pour l’ancrage mémoriel et un feedback sous forme de micro-contenus pour l’acquisition de nouvelles connaissances)

La granularité : Pensez en amont à découper finement vos contenus de formation (entre 1 et 5 minutes par capsule en abordant une notion clé) et à les espacer dans le temps (révisions ou présentation de nouvelles informations). Cela vous permettra de faciliter l’apprentissage de vos apprenants tout en prenant en compte le temps d’attention réduit sur mobile.

Notre astuce : utilisez le mind mapping pour granulariser vos contenus ! Cette technique permet de cartographier visuellement les différentes idées que l’on a d’un sujet. Les idées peuvent ensuite être abordées à travers des capsules spécifiques !

Les modalités pédagogiques : Utilisez des modalités pédagogiques variées pour capter leur attention (image, infographie, vidéo, flash cards, etc.).

La gamification et l’apprentissage social : Engagez vos apprenants dès le début de la formation en les rendant actifs à travers des activités interactives et des espaces d’échanges (forums, communautés, like, etc.). Notez que selon la solution technologique utilisée, l’apprentissage social aura probablement des spécificités.

Concevoir en « mobile first »

Concevoir sa capsule mobile learning depuis un outil auteur, c’est réfléchir en amont aux spécificités et aux contraintes de consultation de la formation depuis les appareils mobiles. Privilégiez donc les activités optimisées et spécifiques aux smartphones ! Voici quelques exemples :

Les activités optimisées pour le mobile learning :

  • Pour l’apport de connaissances : image + texte, infographie interactive, accordéon, découverte d’un lieu avec effet gyroscopique, etc.
  • Pour la pédagogique : sondage, QCM, zones sensibles, etc.

Les activités spécifiques au mobile learning :

Elles tirent parti des fonctionnalités des smartphones autour de la co-construction de savoirs comme la prise de photos ou la réalisation de vidéos par exemple.

Nos bonnes pratiques de scénarisation

Afin de réussir au mieux la scénarisation de votre capsule mobile learning, nous partageons avec vous nos bonnes pratiques !

  • Utilisez une ergonomie épurée et intuitive : inutile d’avoir une aide à la navigation, un écran de sommaire ou d’annonce des objectifs. Le format ultra court du mobile learning rend ces éléments superflus !
  • Synthétisez l’écran d’accueil et de conclusion pour ne garder que l’essentiel
  • Ne contraignez pas la navigation
  • Evitez les écrans denses en termes de contenus : une rédaction concise est la clé !
  • Privilégiez l’usage de médias non sonorisés (excepté les vidéos), et auquel cas sous-titrez systématiquement les vidéos

Vous l’aurez compris, adapter la scénarisation de votre capsule en mobile learning c’est s’assurer d’avoir une formation intuitive et bien construite !

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Le marketing digital peut nous apporter beaucoup en digital learning. En effet l’objectif premier de la publicité est de faire passer un message à un public spécifique. Ce message doit être court et impactant pour être mémorisé. C’est la même chose en formation !

Des démarches de conception proches

En marketing digital, on cherche à faire vendre des produits/services. En digital learning on cherche à faire apprendre. Mais dans les 2 cas, pour atteindre l’objectif, on doit faire passer à son public un message suffisamment percutant pour qu’il soit mémorisé.

Pour définir leur offre, cibler la bonne population et vendre leurs produits/services, les marques s’appuient sur trois objectifs de communication (cognitif, affectif et conatif).

Voyons comment ils se traduisent en digital learning :

Objectifs cognitifs

  • En marketing digital : faire connaître (informer le consommateur sur le produit/service, l’entreprise)
  • En formation : faire connaître les enjeux et les objectifs de la formation (informer l’apprenant sur les connaissances/compétences qu’il aura acquises à l’issue de la formation)

Objectifs affectifs

  • En marketing digital : faire aimer (s’intéresser au produit/service et/ou à la marque)
  • En formation : susciter l’envie de suivre la formation (avec la méthode du storytelling ou de l’immersion par exemple)

Objectifs conatifs

  • En marketing digital : faire agir (acheter les produits/services)
  • En formation : suivre la formation et s’y impliquer (à travers des exercices interactifs, des jeux, des quiz, des escape game, etc.)

L’analyse d’une publicité…

La transmission des émotions de la publicité vers la cible est essentielle pour toucher les consommateurs (joie, tristesse, peur, surprise, colère, etc.).

Quelle que soit la publicité, celle-ci met toujours en avant 3 éléments fondamentaux : un thème général, une idée et un ou plusieurs arguments pour défendre cette idée. Ces éléments s’articulent à travers un logo, un visuel (image/vidéo), un texte (slogan, informations, etc.) et lorsque le support le permet une musique.

La marque, lors de la phase de conception de la publicité, doit prendre en compte chaque détail de sa campagne :

  • Le visuel : le visuel est-il assez parlant/impactant ? Faut-il passer le bon message ?
  • Le texte : le texte est-il compréhensible/adapté au message que l’on souhaite faire passer ?
  • La marque : que souhaite-t-on mettre en avant dans cette publicité ? Si oui, comment ?
  • Le message délivré : est-il en accord avec notre positionnement, nos valeurs, notre raison d’être ?
  • La musique : est-elle suffisamment entraînante, marquante ?
  • La cible : quelle cible souhaite-t-on toucher ? Comment doit-on la toucher ?
  • Le but : pourquoi réalise-t-on cette publicité ? Quels en seront les bénéfices pour nous ?

On retrouve ces mêmes composantes en digital learning.

… et les bonnes pratiques à en tirer

Le visuel

En marketing digital, le visuel est très important. Il est souvent l’élément fondamental de la publicité car c’est lui qui délivre en partie ou en totalité le message.

Source photo : https://www.lsa-conso.fr/

En formation, le visuel vient souvent en appui du contenu. Mais parfois un bon visuel peut aussi se passer de message textuel. Posons-nous la question sur l’évolution de nos pratiques en formation et prenons davantage exemple sur le marketing : par exemple, en réduisant le texte dans un module lorsque cela s’y prête, en mettant en avant des visuels parlants et évocateurs du/des message(s) que l’on souhaite transmettre.

Le message adapté à la cible

Pour qu’une publicité soit pertinente, le message publicitaire doit être délivré à la bonne cible. Il convient donc de choisir le bon message, au bon format publicitaire !

C’est la même chose en digital learning. Pour rendre la formation pertinente et mettre en avant sa nécessité, elle doit s’adresser à la bonne cible (les apprenants), s’adapter à leurs besoins et être réalisée avec les formats pédagogiques adéquats (présentiel, e-learning, blended learning, etc.).

Le bénéfice

En marketing digital et en digital learning, le consommateur/l’apprenant doit percevoir le message principal dès le début.

  • En marketing digital : pourquoi cette publicité ? Quel est le message délivré ? Que cherche-t-on à me vendre ?
  • En digital learning : pourquoi cette formation ? Que va-t-elle m’apporter ?

Le consommateur/l’apprenant doit dès le départ saisir les enjeux et bénéfices qu’il va en tirer (de la publicité ou de suivre la formation). Il doit pouvoir répondre rapidement aux questions « Que vais-je en tirer ? » et « Qu’est-ce que cela va m’apporter ? ».

La mémorisation du message grâce à un format court

Nous vivons actuellement dans une culture de zapping : nous n’aimons pas consulter des formats longs, que ce soit à des fins personnelles ou professionnelles. Pour s’adapter au mieux à cette culture, les messages délivrés par les marques et les services formation doivent aller à l’essentiel. En marketing digital ou en digital learning, pour être impactants et précis, nous devons avoir recours à des formats courts. C’est en ce sens que les marques/entreprises peuvent capter l’attention de leurs consommateurs/apprenants !

Vous l’aurez compris, certaines pratiques du marketing digital peuvent vous inspirer en formation. Maintenant que vous avez toutes les cartes en main, à vous de jouer !

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Mettre en place une formation mobile learning efficace, c’est d’abord réfléchir à un design et à une ergonomie adaptés. Car oui, il ne s’agit pas de reproduire la navigation d’un module classique ! Évident, mais pas toujours mis en place.

Penser pleinement « Mobile » en termes de contraintes et spécificités

  • Proposer un design adapté à la taille d’écran smartphone/tablette : intuitif, épuré et agréable.
  • Réduire le contenu à l’essentiel (texte, vidéo ou audio). La densité informationnelle est à proscrire.
  • Éviter l’utilisation de fonctionnalités non-optimales sur mobile (ex. : saisies de texte, fenêtres pop-up, tableaux & colonnes).
  • Proposer des actions liées aux usages mobile pour interagir avec des éléments de l’écran : placer les actions principales au milieu ou en bas de l’écran et de gauche à droite.
  • Favoriser une utilisation simple, fluide et précise.
  • Proposer des actions intuitives à l’aide des fonctions swipe, tap, double tap, drag (glissement), spread (écartement), etc.

Exemples de bonnes pratiques

Page d’accueil : look and feel très épuré, repères pour la navigation

  • Rappel illustratif du thème de la capsule : photo et couleurs adaptées
  • Logo Client (éventuellement)
  • Thème de la capsule : « Découvrir »
  • Durée cible
  • Titre et sous-titre
  • Bouton « Go » permettant de lancer la capsule

Page de contenu : apport descendant (accordéon)

  • Barre de progression en haut
  • Bouton « Quitter » en haut à droite
  • Flèche en haut à gauche pour revenir à l’écran précédent
  • Navigation par la fonction « tap » dans le contenu
  • Bouton « Continuer » pour naviguer dans la capsule (pour un usage cross-canal)

Page de contenu : activité formative (drag and drop)

  • Barre de progression en haut
  • Bouton « Quitter » en haut à droite
  • Flèche en haut à gauche pour revenir à l’écran précédent
  • Déplacement d’étiquettes dans des zones dédiées
  • Apparition du feed-back et du bouton « Continuer » lorsque toutes les étiquettes ont été placées

Page de contenu : activité de découverte (carte à retourner)

  • Barre de progression en haut
  • Bouton « Quitter » en haut à gauche
  • Flèche en haut à gauche pour revenir à l’écran précédent
  • « Tap » sur la carte pour la retourner
  • Apparition du verso de la carte au clic
  • Navigation par les flèches < et > pour se déplacer dans les cartes
  • Bouton « Continuer » pour accéder à l’écran suivant

Page de fin : annonce de la fin de la capsule

  • Repère visuel pour annoncer la fin de la capsule (rond rose)
  • Message de fin
  • Bouton « Quitter » permettant de fermer la capsule et de revenir à son parcours de formation pour sélectionner une autre capsule

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